Il n'est plus nécessaire d'expliquer que chez Helpper, nous considérons que l'assistance et la serviabilité entre voisins sont importantes. Aider les autres fait partie de notre ADN et de nos valeurs fondamentales. Chaque mois, nous envoyons nos employés sur la route pour apporter de l'aide dans leur propre quartier. Ainsi, en équipe, nous essayons d'apporter une petite contribution à ceux pour qui chercher de l'aide n'est pas évident.
Notre employé Philippe a mis sa casquette de développeur de côté et s’est engagé comme helpper. Il raconte avec ses propres mots comment il a vécu cela.
« J’étais enthousiaste. Je me suis immédiatement demandé : « Pourquoi est-ce que je n’ai pas fait ça plutôt ? » Lors de ma candidature, il m'était déjà venu à l'esprit de me lancer en tant que helpper. Je pense que ce serait bien d'aider quelqu'un avec de petites tâches pendant quelques heures par mois. »
Commençons par le début : comme tout helpper, j'ai créé un profil sur notre site. Après cela, tout s'est effectivement bien passé. Parce que mes amis et ma famille me disent parfois que j'ai la main verte et que j'aime aussi jardiner, je me suis immédiatement inscrite au jardinage. Le premier pas était franchi ! A partir de là, ça a commencé : la recherche d'un(e) helppie dans mon quartier.
Grâce à la plateforme, j'ai fait la connaissance de Marjan (*). En raison de sa maladie chronique, elle cherchait quelqu'un pour s'occuper des tâches ménagères et aider au jardin. Je l'ai rencontrée à la maison pour voir si je pouvais faire quelque chose pour elle. Notre rencontre a été très cordiale. Au début, c'était bien sûr un peu gênant en entrant, mais après nous avons discuté entre les corvées et avons appris à mieux nous connaître.
Depuis lors, je lui ai déjà rendu visite deux fois. Par exemple, pour accrocher un support mural avec une perceuse et j'ai aussi refixé la poignée de la porte du jardin. À première vue, cela ne semble pas si difficile, mais parce qu'elle souffre du syndrôme de fatigue chronique et qu'elle a peu de force dans les mains, cela n’est tout simplement plus possible pour elle.
« Nous ne réalisons pas toujours que ce qui nous semble ‘trois fois rien’ ou ‘simplissime’ peut être un gros effort pour quelqu'un d'autre. »
Après mon travail dans le jardin, par exemple, j'avais refermé la porte de sa cabane de jardin avec force. Elle m'a ensuite rappelé et m'a demandé si je pouvais juste la fermer doucement. Sinon, elle ne pourrait pas l'ouvrir elle-même par la suite.
Cela m'a vraiment procuré un agréable sentiment et beaucoup de satisfaction d'aider quelqu'un à avancer. C’est aussi une visite à quelqu'un qui ne voit peut-être pas grand monde. En fin de compte, c'était peu d'efforts pour moi, mais pour quelqu'un d'autre, cela peut signifier beaucoup.
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* Nous utilisons un nom fictif pour protéger la vie privée de nos helppies.